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DOSSIER SUR L'ARMÉNIE

L’Allemagne et le génocide arménien 

     

Par Vicken Cheterian

Journaliste, Genève.

 

Par son refus persistant de reconnaître le génocide arménien, la Turquie a jeté un voile épais sur le rôle joué par son alliée d’alors, l’Allemagne impériale. Quatre-vingt-un ans après, le livre de Vahakn Dadrian (1) est la première étude importante ayant trait aux « preuves historiques sur la complicité allemande ».

L’auteur de la monumentale Histoire du génocide arménien (2) utilise abondamment les archives allemandes et autrichiennes, ainsi que des documents ottomans, qu’on ne peut suspecter de sympathie pour la cause arménienne.

Cette étude révèle l’implication d’officiels militaires et civils allemands en service en Turquie pendant la première guerre mondiale. Ainsi le général Bronsart von Schellendorf, chef de l’état-major ottoman, a-t-il personnellement signé l’ordre de déportation des Arméniens et ordonné l’adoption de « mesures sévères de sécurité » contre les recrues arméniennes non armées servant dans les bataillons de travail forcé turcs. De même, le lieutenant-colonel Boettrich, chef du service des chemins de fer, a donné l’ordre de déporter les cheminots arméniens - très peu survécurent.

Vahakn Dadrian montre également que les généraux allemands avaient une connaissance préalable des objectifs et des conséquences de ces déportations. Les consuls en poste dans différentes villes d’Anatolie envoyaient régulièrement des rapports à l’ambassade allemande, informant celle-ci que « le gouvernement turc voue les Arméniens à une politique d’anéantissement ». En outre, les généraux allemands ont participé à la préparation et à la justification idéologiques de ces massacres. Proche collaborateur du général Bronsart et chef d’état-major de la IIIe armée ottomane, basée dans les six velayat de l’est du pays, où se concentrait la population arménienne, Félix Guse a activement encouragé la déportation des Arméniens, dénonçant ces derniers comme des « traîtres » et des « ennemis de l’intérieur ».

D’autres officiers allemands ont participé encore plus directement au génocide. A Urfa, près de 25 000 Arméniens, craignant la déportation et le massacre, s’étaient barricadés et avaient réussi à repousser l’infanterie turque : le commandant Wolffskeel, officier de l’artillerie allemande, intervint et transforma leur quartier en un tas de décombres.

L’armée allemande espérait répandre la rébellion islamique dans les territoires sous contrôle russe, britannique ou français. C’est pourquoi, parallèlement à la déclaration du djihad (sur laquelle elle insista), elle participa à l’entraînement et au financement d’une unité - l’Organisation spéciale - supposée mener une guerre de guérilla dans le Caucase et en Iran. Mais l’appel au djihad échoua et les défaites essuyées par les Turcs sur le front de l’est empêchèrent toute activité substantielle de sabotage. L’Organisation spéciale fut donc utilisée - contre l’ « ennemi intérieur » - comme instrument de la déportation et de la destruction de la population arménienne.

L’Allemagne, à l’époque de la première guerre mondiale, avait les moyens de faire pression sur les autorités turques pour sauver le peuple arménien du génocide. Plusieurs de ses consuls conseillèrent à Berlin d’agir dans ce sens. Mais la politique officielle allemande mit en avant la « non-ingérence » dans les affaires intérieures turques, tout en participant directement à l’annihilation des Arméniens.

Vicken Cheterian.

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(1) Vahakn N. Dadrian, German Responsability in the Armenian Genocide, Blue Crane Books, Watertown, Massachusetts, 1996, 304 pages, 25 dollars.
(2) Histoire du génocide arménien, Paris, Stock, 1996, 695 pages, 180 F.

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RAPPEL DES FAITS
(tels qu'ils sont décrits dans les éditions historiques de la plupart des pays, à l'exception des pays musulmans)

  L’Arménie historique était une grande région couvrant quelque 300 000 km² en Asie occidentale, comparativement à 29 800 km² aujourd'hui. Les anciens territoires sont aujourd'hui : à l'ouest, une partie de la Turquie orientale), la république d’Arménie actuelle, le Nakhitchevan et une partie de l'Azerbaïdjan (le Haut-Karabagh), en plus de portions de territoires de la Géorgie (au nord), de l'Irak (au sud) et de l'Iran (au sud). Plus une partie de la Turquie occidentale (la Cicilie).    

LES PERSECUTIONS CONTRE LES ARMENIENS DURENT DEPUIS LE 15e SIECLE :  

Au XVe siècle, l’Arménie fut occupée par les Ottomans qui lui laissèrent un certain degré d’autonomie entérinée par le pacte de l’Aman en 1461. Mais le territoire arménien s'amenuisa au cours de l'occupation turque, notamment en 1555, 1620 et 1639. En 1746, l'Arménie fut partagée entre les Turcs ottomans et les Perses: l’ouest alla à la Sublime Porte (les Ottomans), l’est aux Perses. C'est à cette époque que l'Artsakh (Haut-Karabah) reçu son nom perse de Karabagh («Jardin noir»).   En 1801, les Russes firent leur apparition dans le Caucase. La Géorgie fut occupée, puis le Nakhitchevan en 1808, le Karabagh et le Kantzak en 1813.

En 1828, la Russie s’empara de la région d’Erevan (Arménie orientale) qui devint une province russe sous le nom d’Armianskaia Oblast. Cependant, la région d'Erzurum (ville de l'est de la Turquie actuelle, chef-lieu de la province d'Erzurum dans l'ancienne Arménie) demeura à la Turquie. La communauté arménienne commença alors à s’organiser politiquement, tant en territoire russe qu'ottoman ; on assista à la création des premiers partis politiques arméniens. En représailles, la Russie ferma en février 1885 quelque 600 écoles arméniennes dans le Caucase. Le nom Karabagh fut complété par l'épithète russe Nagorny («Nagorny Karabagh») signifiant «montagneux», (d'où le «Haut-Karabagh»).  

Quant aux Turcs, ils réagirent à la résistance arménienne par de terribles répressions et des massacres, notamment en 1884 et en 1896, alors que plus de 150 000 Arméniens auraient péri. Puis le mouvement Jeunes-Turcs fit instaurer une politique de «turquisation intransigeante» à mesure que l’Empire ottoman se désagrégeait (indépendance de la Bulgarie, pertes de la Bosnie, de la Tripolitaine, de la Macédoine et de l'Albanie).

Il faut dire que la présence des Arméniens et leur réussite économique étaient de plus en plus ressenties comme un danger par les dirigeants turcs. Les Arméniens autonomistes réclamaient rien de moins que la reconstitution de l’Arménie historique, avec à sa tête un gouvernement reconnu par les grandes puissances. Pour répondre à ce courant indépendantiste, le gouvernement turc envoya des émissaires dans les provinces afin d'inciter la population musulmane à se méfier  des Arméniens, les accusant de conspiration avec l’ennemi historique, la Russie. Puis des campagnes de fanatisation furent organisées afin d'attiser la haine du peuple turc (musulman) contre les Arméniens «infidèles» (chrétiens). Les manifestations des Arméniens réclamant, par exemple, une baisse des impôts, la liberté de culte ou d’enseignement, finirent par être réprimées dans le sang.

En 1894-1895, les Arméniens furent massacrés de façon systématique par les Turcs. Le 25 décembre 1895, quelque 3000 Arméniens furent brûlés vifs dans le cathédrale d'Ourfa. Dans les années qui suivirent (jusqu'en 1898), par ordre du sultan Abdul Hamid II, près de 300 000 Arméniens de la Cilicie furent exterminés.   Lors de Première Guerre mondiale, les atrocités commises par les Turcs ottomans à l'encontre des Arméniens s'accrurent, même si les Arméniens de Turquie avaient été mobilisés dans l'armée turque pour combattre la Russie. Soupçonnant les militaires arméniens de traîtrise, environ 200 000 militaires arméniens furent fusillés par les Turcs au mois de janvier 1915. En avril de la même année, des Arméniens de la ville de Van s'insurgèrent et instaurèrent un gouvernement provisoire arménien. Tous les intellectuels arméniens furent arrêtés puis exécutés. Les dirigeants «Jeunes-Turcs», c'est-à-dire Enver, Talaat et Djemal, décidèrent de déporter l’ensemble de la population arménienne dans les déserts de la Mésopotamie. En août 1915, les Arméniens de la Cilicie et de l’Anatolie occidentale furent à leur tour déportés. À la fin de l'été 1915, tout l'est de la Turquie (l'ancienne Arménie historique) était vidée de sa population arménienne.      

*** Le 15 septembre 1915, Talaat Pacha, l'influent ministre turc de l'Intérieur, envoya ce télégramme officiel à la direction du Parti Jeunes-Turcs (préfecture d'Alep):      " Le gouvernement a décidé de détruire tous les Arméniens résidant en Turquie.    Il faut mettre fin à leur existence, aussi criminelles que soient les mesures à prendre.    Il ne faut tenir compte ni de l'âge, ni du sexe. Les scrupules de conscience n'ont pas leur place ici. "    

*** Talaat Pacha fit parvenir un second télégramme au Parti Jeunes-Turcs :    " Il a été précédemment communiqué que le gouvernement a décidé d’exterminer entièrement    les Arméniens habitant en Turquie. Ceux qui s’opposeront à cet ordre ne pourront plus faire partie de l’Administration. Sans égard pour les femmes, les enfants et les infirmes, quelques tragiques que puissent être les moyens d’extermination, sans écouter les sentiments    de la conscience, il faut mettre fin à leur existence. "     Enfin, pour résumer la situation, le ministre de l'Intérieur déclara : «J'ai accompli plus pour la résolution du problème arménien en trois mois qu'Abdul Hamid ne l'a accompli en trente ans!».    

*** Évidemment, les gouvernements européens n'ignoraient pas ce qui se passait alors dans l'Empire ottoman. La Grande-Bretagne, la France et la Russie déclaraient conjointement, le 23 mai 1915, à Londres:    " Depuis un mois environ, la population kurde et turque d'Arménie procède, de connivence et souvent avec l'appui des autorités ottomanes aux massacres des Arméniens.    De tels massacres ont lieu vers la mi-avril à Erzerum, Tertchan, Eguine, Bitlis, Mouch, Sassoun, Zeïtoun et dans toute la Cilicie.   

Les habitants d'une centaine de villages des environs de Van ont été assassinés et le quartier arménien est assiégé par des populations kurdes. En même temps, à Constantinople, le gouvernement ottoman a sévi contre la population inoffensive.      

En présence de ces nouveaux crimes de la Turquie contre l'humanité et la civilisation, les gouvernements alliés font savoir publiquement à la Sublime Porte qu'ils tiendront personnellement responsables desdits crimes tous les membres du gouvernement ottoman, ainsi que ceux des agents qui se trouveraient impliqués dans de pareils massacres. "   En un peu plus d’un an, près d’un million (entre 800 000 et 1,2 million) d’Arméniens périrent par les armes, soit presque la moitié de la population arménienne ottomane. Les victimes des massacres et des famines se chiffrèrent à environ deux millions.  

Les Turcs s’accordent à reconnaître un maximum de 300 000 victimes, mais refusent encore aujourd'hui d’y voir une extermination planifiée, c'est-à-dire un génocide. Par la suite, de nombreux Arméniens quittèrent la région et trouvèrent refuge dans d'autres pays, dont environ 200 000 en Russie.   L'Arménie dite orientale (russe) accéda à une éphémère indépendance en 1918.

Le 10 août 1920, le traité de Sèvres reconnut officiellement l’indépendance de l’Arménie, qui devient un État s’étendant sur quelque 70 000 km2. De plus, le traité de Sèvres prévoyait un foyer national arménien en Cilicie, sous protectorat français. Mais, le 22 septembre 1920, les troupes du général Mustafa Kemal pénètrent en république d’Arménie, aidées par les Azéris et les bolcheviks.

Le 20 octobre 1921, les Turcs chassèrent les Français de Cilicie, massacrant par la même occasion les Arméniens.
Le 2 décembre 1920, le gouvernement arménien dut renoncer à l’application du traité de Sèvres et rétrocéda plusieurs territoires, dont Kars, Ardahan et le Nakhitchevan.   Rappelons qu'à la suite d'un nouveau mouvement nationaliste en Anatolie sous la direction de Mustafa Kemal (Atatürk) et la naissance de la république de Turquie (1923), le traité de Sèvres ne fut jamais appliqué et fut remplacé par le traité de Lausanne (1923). Par ce nouveau traité, les régions turques de la Thrace et de l'Anatolie orientales furent autorisées à former leur propre État, mais l'Arménie resta soviétique. Quant à la république de Turquie, elle devait être dirigée de main de fer durant quinze ans par Mustafa Kemal dit Atatürk, (le «père des Turcs»).  

 *** Cette fois-ci, la répression s'abattit sur les Kurdes, les anciens alliés des Turcs contre les Arméniens.

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TURCS NEGATIONNISTES, LAISSEZ LES ARMENIENS TRANQUILES !

Mes 4 arrière-grands-parents, du côté maternel de ma famille, sont des survivants du génocide de 1915. Ils étaient des enfants lors des faits, et il faut bien avouer que l'un de mes arrière-grands-pères a été sauvé in-extrêmis par un monsieur turc, qui dans sa grande pitié et son immense charité, choisit de sauver l'un des enfants en cours de déportation par l'armée turc, de passage dans son village. Il remit sur pieds et l'aida à se sauver de Turquie pour rejoindre Beyrouth. Quant à mon arrière grand-mère, elle fut recueillie par des nomades du désert après s'être échappée de déportation où elle avait vue sa mère, trop faible pour continuer à marcher, se faire égorger par un soldat turc. Le père d'un de mes arrièrfut traîné par un cheval jusqu'à ce que mort s'ensuive pour n'avoir pas révélé la cachette de son or. Des dizaines de personnes de ma famille sont morts dans des conditions atroces lors du génocide ! Alors, de grâce, que les turcs arrêtent de nous narguer en nous demandant des preuves!!!

Quelle honte, mais quelle honte!
Des centaines de documents ont été diffusés par les anglais et les allemands : écrits, films, photos.
Les arméniens n'ont rien à prouver, leur mémoire meurtrie leur suffit. Les arméniens n'ont pas à discuter avec ces sauvages qui ont tué impunément et qui ont trop honte pour l'avouer. Les arméniens n'ont rien à faire avec les turcs descendants fiers des assassins. Pour moi, ils n'existent pas ces gens-là. Je les ignore, je les méprise et je me fous totalement de leur reconnaissance ; c'est TROP TARD.

C'est fini : à jamais, le peuple turc sera descendant d'assassins impunis qui n'ont même pas l'honnêteté de reconnaître leurs crimes atroces.

Je crois au KARMA, car je ne suis à présent plus chrétienne, mais bouddhiste. Le karma des peuples existe. Pour finir, il faut bien avouer que les générations actuelles ne sont pas directement responsables des crimes passés, mais qu'au moins elles ferment leur gueule, qu'elles se fassent patites, qu'elles se ratatinent, parce que de toute évidence nier des faits qui ont été reconnus par des dizaines de pays, DONT LA TURQUIE, lors du traité de Sèvres il ya 80 ans, est non seulement malhonnête mais aussi complètement idiot et ridicule.

Que les turcs cessent leur faux combat de négationnisme et de persécution morale contre les arméniens. Ils ont fait assez de mal comme cela, tout le monde ou presque est d'accord là-dessus.

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Message de « VLADIMIR »

Je lai deja dit mais apparament les turc veulent continuer à faire leur negationnisme alors je ne vais pas me laisser faire par des incultes!
 
LA TURQUIE AUJOURD'HUI SE PROTEGE EN NIANT LE GENOCIDE ARMENIEN
 
Les Turcs sont non seulement des négationnistes mais également des révisionnistes.  
Comme le violeur accusé qui dit d'abord "c'est faux je ne l'ai pas violée" et puis quand les preuves finissent par avoir le dessus, annonce finalement "c'est elle qui m'a sauté dessus!"  
Les Turcs se défendent bêtement en répliquant d'abord qu'il n'y a pas eu de en génocide et ensuite en disant que les Arméniens étaient des traîtres ou encore que c'étaient eux qui massacraient les Turcs.
 
  
Cela tient pas debout: pourquoi ce sont les Arméniens qui se sont exilés dans ce cas-là alors qu'ils vivaient là-bas depuis des siècles!
En plus les Arméniens étaient une minorité et n'avaient pas les moyens de faire ce que prétendent les Turcs qui étaient bien plus nombreux! Comment une minorité qui n'étaient même pas armée pour la plupart auraient-ils pu massacrer 513000 Turcs qui eux disposaient d'une administration et de la force armée?  
 
C'est n'importe quoi!     
 
C'est pitoyable de voir que la génération actuelle des Turcs n'essaie même pas d'évoluer par rapport à ce problème! C'est inexcusable! Et en plus ils ont le culot de prétendre être Européens! Tout est bafoué en Turquie! Ils ne respectent rien, ni les libertés, ni les femmes, ni qui ou quoi que ce soit! Quand on voit ce qui se passe là-bas! C'est l'archaïsme complet, la barbarie institutionnalisée la plus totale ! Moi j'aurais honte d'être Turc et eux s'en vantent avec leur ultranationalisme à la con !  
 
Il y a des preuves accablantes attestant la réalité du génocide arménien
provenant de sources fiables (médecins ou envoyés étrangers présents sur les lieux à l'époque). Tous les journaux dans le monde entier en 1915 ont mentionné les massacres commis sur les Arméniens par le gouvernement Jeune-turc.  
 
Envers et contre tout, ils persistent à nier l'évidence et à se moquer de l'humanité toute entière. Quelle bassesse et étroitesse d'esprit!  
Le Mémorial arménien à Lyon vient d'être tagué comme ils l'ont déjà fait ailleurs! Il y a eu aussi la manif négationniste qui a choqué l'opinion publique.  
Ils sont vraiment en train de se griller tout seuls et de s'isoler de l'Occident, de l'Europe et même du monde entier par leur entêtement et leur comportement stupide.  
Peu à peu, plus personne n'en veut et c’est normal après tout !
 
 
PS :
Les massacres, la déportation de plusieurs centaines de milliers d'individus correspondent bien à la définition du génocide élaborée par " la Convention sur la prévention et la répression du crime de génocide " et adoptée le 9 décembre 1948 par l'Assemblée générale des Nations unies
 
Quand on voit certaine personne qui crée des forums et des sujet pour faire du négationnisme comme cela c’est vraiment dégoutant, vous me faite vomir !!
Vous avez beau dire se que vous voulez, vous vous ridiculiser tout seul en ne connaissant même pas votre propre histoire.
Alors aussi ne comparez pas la France et la Turquie parce que la Turquie est très très mais alors très loin derrière !!  
Et l’Europe c’est pas pour bientôt avec une mentalité comme la vôtre !!
 PFFFff

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